top of page

Le projet agricole Ségalavenir

Notre démarche

Pour les porteurs du projet Ségalavenir, enfants du Ségala, la méthanisation à l’échelle des exploitations est apparue comme un outil vertueux pour accompagner la transition vers un modèle agricole durable et souhaitable pour les générations futures.

 

Confronté au sujet de la méthanisation depuis plusieurs années, le collectif de Ségalavenir a eu de multiples opportunités d’explorer cette filière en profondeur et de se forger un avis éclairé sur la question. Conscients des dérives possibles associées à cette technologie, ils ont à cœur de construire un projet simple, robuste, et à taille humaine, qui restera la propriété des agriculteurs, au service de leurs exploitations.

 

Les enjeux prioritaires sont la valorisation des effluents d’élevage pour la production de gaz renouvelable d’une part, et de digestat, un fertilisant organique inodore, d’autre part, ainsi que la pérennisation des exploitations agricoles au moyen d’un projet collectif, porteur de résilience, d’autonomie et de diversification pour les fermes.

 

Ce projet leur permettra aussi de valoriser leurs résidus de cultures et couverts végétaux, obligatoires en zone vulnérable, tout en préservant les ressources nécessaires aux activités d’élevage (pas de concurrence fourragère).

« Nos grands-parents ont travaillé jour et nuit pour une misère toute leur vie. Nos parents, puis nous, avons essayé d’améliorer le confort de travail sur les exploitations. Pour que nos enfants, qui veulent bénéficier d’une vie sociale épanouissante, prennent le relais, il faut mettre en place des solutions pour améliorer encore leur confort : la méthanisation est un virage à prendre pour moderniser et pérenniser l’agriculture grâce à l’énergie renouvelable. »

Aurélien Gayrald, GAEC Caprijeunes

« Je n’avais pas l’habitude de travailler en groupe. Ce projet est une opportunité de développer nos exploitations sans peser autant sur nos contraintes individuelles, et aussi d’avoir un projet commun. »

Franck Brugel, EARL Brugel

Avantages pour le territoire

Localisation du méthaniseur

Le choix du site d’implantation s’est fait sur des critères réglementaires d’une part et la volonté des porteurs de projet d’intégrer au mieux le projet au territoire d’autre part.

Pourquoi le projet n’est pas implanté plus près d’Aubin, point d'injection du gaz ? Pour limiter la distance aux parcelles et éviter la traversée de Valzergues par des tracteurs.

Pourquoi ne pas s’installer plus loin de Montpestel ? Car cela rapprocherait l’unité de Valzergues. Et réciproquement.

C’est donc un choix réfléchi effectué suite à la comparaison de plusieurs parcelles pour déterminer celle qui répondait le mieux aux contraintes suivantes :

  • Distance suffisante des riverains et habitations proches (limite légale ICPE : 200 m)

  • Prise en compte de l’impact sur les habitants du territoire (intégration paysagère, circulation, …)

  • Proximité du réseau d’injection de biométhane

  • Contraintes réglementaires ICPE (35 m des cours d’eau, 200 m des habitations, …)

  • Documents d’urbanisme et zonage (PLUi, PPRN, ZNIEFF, Natura 2000, …)

  • Proximité des parcelles d’où proviennent les matières et où sera rendu le digestat

  • Accessibilité par la route

  • Disponibilité de la parcelle

  • Stabilité hydrogéologique du terrain

  • Surface suffisante pour l’unité

Aménagement sur la zone d'implantation

Cette proposition constitue une première approche et n’est pas conforme à l’implantation finale de l’unité.

Un travail d’intégration paysagère sera par ailleurs réalisé avant la phase de construction.

plan_Segalavenir_GPC.jpg

Foire aux questions

  • 01
  • 02
  • 03
  • 04
  • 05
  • 06
  • 07
  • 08
  • 09
  • 10
  • 11
  • 12
  • 13
bottom of page